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mercredi 7 mai 2008

Ma vie est passionnante

"Les femmes sont comme les greniers : elles doivent être aérées pour ne pas trop prendre la poussière."
Edmond Rostand

Sous la pression des édiles, je me livre pieds et poings liés à ce blog.

Non parce que ça gueule, comme quoi soi-disant je ne donnerais plus de nouvelles. Ce qui n'est pas totalement faux. Mais contrairement à ce que l'on pourrait (facilement) croire, ce n'est pas parce que j'ai quitté le monde merveilleux du célibat que mes pensées et mes journées sont trop remplies pour songer à blogger un peu. Non non.

Alors certes, j'ai une copine. Certes, ça pourrait faire la couverture de Voici ou de Gala tellement tout le monde attendait ça avec une impatience non dissimulée. Certes, les marchands de forfaits mobiles se frottent les mains quand vient le moment de ruiner son forfait s'appeler le soir, car ainsi font les couples. Certes, mon banquier menace de tuer mon chat si je continue à faire le mec galant et à offrir toutes les sorties (d'ailleurs j'aurais à redire au sujet de cette soi-disant parité, mesdames... bande d'hypocrites va). Certes, je dors un peu moins ces derniers temps, et me sens pourtant un peu plus léger (je sais, je suis un gentleman, j'ai l'art et la manière de tourner les phrases, etc.). Certes.

Sauf que, ah ah, et voilà la grande révélation finale, ce n'est pas pour ça que je n'ai pas mis à jour mon blog. C'est parce que le net à la station marine a été coupé ces dernières semaines, et qu'on ne l'a retrouvé qu'hier. Wala. Et toc pour les romantico-gluants qui me pensaient occupé à roucouler béatement.

Bon, maintenant que je suis là, quelques news. J'ai passé le dernier week-end à Lille, à squatter chez la Poulette, à la corrompre et à la distraire de ses révisions en lui mettant entre les mains un jeu vidéo à la Diablo 2 (quand on sait à quel point elle est addicted de Diablo, on cerne tout de suite ma fourberie innommable), à boire une bière avec C. et E. en traitant fermement tous les lâcheurs qui ne sont pas venus pour cause de "fatigue" (un samedi soir, non mais vraiment...) de petits slips, et à me balader au parc de la Citadelle pour revoir le kookabura et manger une glace à l'italienne à la framboise (qui est, est-il besoin de le rappeler, la meilleure glace au monde), main dans la main avec ma douce et tendre.

Cette semaine, relâche: je dors à l'hôtel pour cause d'invasion de Belges à la station marine, je me pointe entre 10h et 11h le matin, et demain matin tôt je me casse pour 5 jours de vacances dans le sud, ah mais. Quand on me sucre mes vacances de Pâques, je me venge.

A part ça, mon rapport avance... peu à peu.